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 MeguSA

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AuteurMessage
Shigure
Shin'Gao
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Shigure



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MessageSujet: MeguSA   MeguSA EmptyDim 19 Sep - 16:42

salut à tous, je vous présente mon dernier bébé écrit .

MeguSa


Je m'appelle Megumi Yaragi, j’ai les cheveux courts brun aux yeux vert et je vais au lycée Sarugin. Comme toutes les filles, je recherche le prince charmant, seulement je suis souvent harcelée par des coureurs de jupons comme ce garçon Satoru Mura, cheveux noirs aux yeux bleu, le plus collant de tous. En revenant de l’heure de pause, je suis tombé sur une discussion assez intéressante entre mon amie d’enfance Kumiko et 4 de nos camarades de classe.

- Vous savez, craquer pour le premier garçon qui vous aborde est une grosse erreur. Car il joue avec vous, quand vous aurez fini de résister vous aurez droit à une journée de bonheur, après, il vous lâchera pour la prochaine personne qui lui résistera. Avant de craquer, attendez d’avoir une preuve de son amour.

Ça a l’air bête, mais enfaîte, elle n’a pas si tort qu’on ne le croit. Je vais suivre son conseil jusqu'à ce que je trouve mon apollon. A la fin des cours comme tous les jours, mon traqueur Satoru m’attend devant les grilles de l’école.

- Salut!! Ca été les cours ?
- Ça t’intéresse vraiment ?
- Non, enfaîte, je voudrais ton email
- Sans blague, pourquoi devrais-je te le donner ?
- Parce qu’on est fais l’un pour l’autre, d’ailleurs je vois déjà notre futur nom de couple, MeguSa 
- Megusa ?
- Oui, Megu de Megumi et Sa de Satoru
- Qui t’as mis cette idée dans la tête ?

Je ne pu m’empêcher de partir en rigolant sur le chemins du travail. Je suis stagiaire dans une bibliothèque et je dois avouer qu’il me plait énormément.

- Tiens Megumi, t’es prête pour le rangements du rayon enfants ?
- Oui, je m’y suis préparée

Je m’y étais préparée mais j’avoue que c’était fatiguant. Me voilà enfin libre pour rentrer chez moi, dans cet appartement sombre où seul vivent mon petit frère Kazuhi et mon père, qui lui ne pense qu’à son travail, je ne sais même plus depuis combien d’année il ne m’a souhaité un bon anniversaire. Quand à ma mère, elle s’en est allée quand j’avais 5 ans. Comme tous les soirs je m’allonge sur l’appuie de fenêtre pour regarder les étoiles et espérer que demain soit un jour meilleur. Le jour ce leva et comme chaque matin je dois préparer le bento de Kazuhi ainsi que le sandwichs de mon père pour enfin aller au lycée.

- Salut Megu !
- Oh ! Kumiko, comment vas-tu ?
- Bien merci, oh ! Dit, tu ne devrais pas rentrer seul le soir, j’ai lu dans le journal qu’un violeur continue d’airé dans notre quartiers
- Je ferais attention merci
- Il en est déjà à 6 victimes, je ne voudrais pas être la 7éme
- Moi non plus


Aujourd’hui c’est mon jour de congé alors je rentre plus tôt pour faire le ménage, le seul problème c’est que je vais être en bonne compagnie pendant ce trajet, Satoru.

- Salut !
- Tu ne me laisseras donc jamais tranquille
- Pas tant que je n’aurais pas eu ni ton email, ni ton numéro
- Tu devras attendre encore longtemps, je ne suis pas prête à te le donner
- C’est pas grave tant que tu seras aussi mignonne je ne te lâcherai pas
- Alors faudra que je grossisse et que je fasse pousser des boutons pour que tu me laisses
- Qui sait, tu seras peut être encore mignonne me répondit t’il avec un grand sourire

Après avoir nettoyer de fond encombre l’appartement, et après avoir fini de préparé le dîner, je reçu un email anonyme qui sans doute appartenait à Satoru

- Je voulais te souhaiter une bonne nuit, toi la plus belle fille de Sarugin
- T’as enfin eu mon email ?
- Je l’ai eu récemment d’une connaissance, mais je n‘osais pas t’ajouter sans savoir si c’étais toi
- Ben maintenant tu le sais
- Pourquoi es tu si froide tout à coup ?
- Parce que tu me saoul
- Déjà ?


Le lendemain, étais le jour de la sortie Shopping entre fille. Une journée géniale qui se termina au Karaoké, c’est relaxant quand vous finissez votre journée par le travail

- Patron, le rayon de la préhistoire est terminé
- C’est du bon boulot, merci de ta présence dans cet endroit ennuyeux
- Pas si ennuyeux que ça, on y apprend beaucoup

Une fois rentrée, j’eu sur mon ordinateur portable un nouvel Email Anonyme

- Alors le karaoké ?
- Tu m’as encore suivit ?
- J’aime découvrir tes différentes facettes
- Pourquoi n’es-tu pas venu nous rejoindre, puisque t’aime me coller ?
- Parce que je suis timide même si je ne le montre peu
- Timide ? Toi ?

Toujours avec son violeur, Kumiko commença la journée par nous raconter que le violeur étais passé à 7 et qu’il se rapprochai dangereusement de Sarugin. Comme si ce n’étais déjà pas stressant de rentré seul dans le noir, maintenant je suis morte de trouille dès que je vois un inconnu dans la rue, mais jamais, non, jamais je n’aurais imaginer que 2 mains se colleraient à mes yeux, ce qui me fis crier assez fort.

- Désolé je ne voulais pas te faire peur
- Satoru, t’apparaît jamais normalement?
- Non, ce serait lassant
- C’est déjà lassant de te voir tous le temps me suivre

La colère que j’avais contre lui, m’avais enlevé ma peur du noir, peut être avais t’il fait exprès.
Cependant je ne sais dire pourquoi je m’en prend toujours aussi violemment avec lui, il ne fait que me draguer, c’est vrai qu’il est saoulant mais je devrais l’ignorer.
Le lendemain au déjeuner, il me resauta dessus.

- Tiens Megumi, t’as bien dormis ?
- Déjà, on s’est pourtant parlé il n’y a pas très longtemps
- Je sais mais j’ai tellement bien dormis en pensant à toi
- Sérieusement, tu as personne d’autres à ennuyer ?
- Non, tu es la seul à mes yeux
- Je parie que tu dis ça à toutes tes proies
- Voyons tu es ma seul proie
- Franchement, arrête de me draguer, je ne serais jamais à toi

Le lendemain, en revenant au lycée, j’eu une tranquillité plaisante, quand même un peu bizarre, avais-je été si méchante qu’il n’ose plus s’approcher? Pourtant d’habitude, il revient toujours à la charge.

- Salut !
- Oh ! Kumiko
- Tu n’es pas au courant
- A quel sujet ?
- Mura-kun ne viendra pas pendant 1 semaine, sa sœur est atteinte de la même maladie qui a emporté son frère, il y a 2 ans.
- Voilà pourquoi je ne l’ai pas vue
- En tous cas, bravo, tu lui résistes bien

1 semaine plus tard alors que je rentrais du travail, je le croisa assis sur un banc du parc municipal, une cannette à la main.

- Salut, me dit-il moins énergique que d’habitude
- Qui voilà
- Tu rentres de tes cours du soirs ?
- Non de mon travail, quand je t’ai vu, j’ai eu envie de savoir si tous allaient bien pour ta famille
- Oui, ma sœur vas mieux merci, au faite, tu accepterais de me donner ton numéro ?
- Après mon email, mon numéro
- Faut bien essayer de te posséder par tous les moyens
- Me posséder ? comme un objet ?
- Non, ce n’est pas ce que je voulais dire
- Sa va, ça passe pour cette fois mais ne recommence plus de me parler avec ce genre de mot
- Promis

Alors que je m’apprêtais à partir, il me rattrapa par le bras

- Puis-je te raccompagné à ta porte ?

Je ne sais pas pourquoi mais je n’avais pas envie de le laisser seul et puis le violeur des journaux rode encore.

- D’accord, à condition que tu reste tranquille
- Entendu, je reste calme

Comme promis, il me raccompagna jusqu’à la porte, comme un ami. Je commence à l’apprécier à sa juste valeur. Ça change, mais cela n’a durée guère longtemps, j’eu vite un aperçu d’un morceau de sa personnalité que je ne connaissais pas.

- Salut !!!
- Tiens, tu vas mieux ?
- Oui, beaucoup, faut dire que j’ai eu un bon calmant hier soir
- C’est vrai que c’était bien hier soir
- Même gentil tu ne m’as même pas donné ton numéro
- Tu recommences déjà ?
- Je ne lâcherai pas l’affaire, après tous nous sommes bien Megusa
- Je regrette, nous serons peut être proche un jour mais jamais nous serons Megusa
- Je pense qu’au contraire tu as déjà craqué pour mon charme
- Satoru, pourquoi t’abandonne pas, je ne serais jamais à toi

Sans que j’eu le temps de rajouter quelque chose, il m’avait déjà plaqué contre le mur

- Jamais, jamais… Arrête avec ça, tu n’es qu’une lâche, tu ne comprends même pas les gens et t’ose dire que tu ne m’aimeras jamais, sans avoir essayer même d’un baiser. Moi je te veux, je ne te lâcherais pas, je suis capable de tout pour te plaire mais par pitié, arrête de me dire jamais

Très vite, il repris ses esprits et réalisa ce qu’il venait de faire

- Pardon, je ne voulais pas être violent
- Ne t’approches plus de moi

J’avoue avoir été cruel, je commençais à avoir peur et m’en alla en courant. 3 semaines passèrent, sans que je ne puisse l’apercevoir, et pourtant j’ai entendu Kumiko dire qu’il était bien dans sa classe. Mais un soir, je reçu encore un message de cet Anonyme

- Revoilà la princesse de Sarugin
- Tiens ça fait longtemps, tu as changé de cible ?
- Non, je ne fais que te regarder avant de t’accoster
- Pourquoi changer de méthode ?
- Parce que tu es de plus en plus mignonne
- Je te reconnais bien là

Pour un qui m’évite, je trouvais qu’il étais heureux ce soir. Cependant le lendemain alors que j’arrivais en classe, j’aperçu l’ombre de sa personne.

- Tiens, ça fait longtemps qu’on ne s’est vu
- Tu ne te souviens pas, c’est toi qui m’as demandé de ne plus t’approcher
- Oui, mais je ne pensais pas que tu le ferais vraiment
- Je ne veux plus te faire de mal
- Mais je t’ai pardonné il y a longtemps
- J’ai décidé de te laisser respirer, peut être que je reviendrai comme avant plus tard
- C’est dommage ! Je m’étais habitué à te voir si heureux de me saluer tous les jours.

Et je rentrai en classe sans attendre sa réponse

Je pense que je m’étais attacher plus que je ne le croyait mais je veux pas qu’une fois avoir fini de lui résister, qu’il me lâche comme si, je n’avais plus de valeur à ses yeux, cette idée semblait étrangement me faire peur, peut être en suis-je tous simplement tombée amoureuse et que MeguSa est proche en tous cas, je n’ai pas envie d’essayer, je pense que lui résister est une manière de souffrir le moins possible par des idées effrayantes.

- Megumi
- Qu’as-tu Kazuhi ?
- J’ai très faim, je ne sais pas cuisiner et papa est partit lundi pour son travail
- J’ai compris, que veux-tu ?
- Hum… Une soupe de nouille
- Je vais te la faire

Et c’est partit pour une bonne soupe au nouille, rien qu’entre moi et mon petit frère

- Kazuhi, aujourd’hui il y a un feux d’artifice, ça te dit d’y aller ?
- Oh ! Oui !
- Alors continue de manger et nous y irons dès qu’on aura fini.

La journée se termina ainsi, un feux d’artifice et beaucoup de questions sur mes sentiments envers mon chère pot de colle. 2 semaines passèrent et sans que je m’en rente compte, je ne pensais qu’a lui. Au lycée, il ne s’approche plus de moi par peur de me faire mal, seulement moi, j’ai envie d’entendre sa voix et de lui parler

- Satoru, puis je te parler ?
- Que veux tu ?
- Tu n’as pas compris ce que j’ai voulu te dire le jour où tu t’es emporté
- Si t’as dit «  Ne t’approche plus de moi »
- Ce que je voulais dire c’étais, ne t’approche plus de moi de cette façon là si tu ne veux pas perde ta proie.
- Alors je peux…. Te saluer comme avant ?
- Franchement t’es plus beau heureux que triste
- Tu me trouves beau ?
- N’essaye pas de me faire répéter ce que j’ai dit

Le revoilà enfin heureux, comme je l’aime, mais est-ce que lui aussi m’aime sincèrement? J’ai envie de le savoir mais je risque de souffrir si je l’interroge alors je préfère rester là à lui résister pour qu’il soit toujours à mes côtés, c’est déjà pas si mal, puisque je peux le voir sourire autant que je le veux.
Pendant que je fondais pour lui dans mon esprit, il me rattrapa par le bras

- S’il te plait, puis-je avoir ton numéro? Juste pour discuter ?
- Pour discuter ou me draguer ?
- Te draguer, plus que discuter
- C’est bon, je te le donne mais promets moi de ne pas y écrire toutes les secondes
- Promis

Je lui écrivi sur un papier mon numéro avec beaucoup d’ambition.

- Et ton email, je peux aussi l’avoir, ça fait longtemps que je ne te l’ai pas demandé
- Mon email? Mais? Tu ne l’as pas ?
- Non, puisque tu me l’a pas donné
- Alors si ce n’est pas toi, qui est-ce ?
- Pardon ?

Je partis sans lui donner mon email. Qui ? Qui est cet anonyme qui me parle de la même façon que lui ? Qui a voulu me faire craquer pour quelque d’autre que mon apollon ?
En sortant de mon travail, je pris mes jambes à mon cou, alla jusque chez moi en courant et prit mon portable

- Qui es-tu ?
- Quoi je ne te l’ai pas dit ? Je suis ton très cher Satoru
- Arrête de me mentir, comment sais tu son nom?
- Ah ah, je t’observe toute la journée, je remarque donc des choses
- Qui es-tu ?
- Tu le découvriras, bientôt, je te le promets

La peur dans le ventre, j’alla à l’école le lendemain en me retournant à tous les coins de rue.
Jusqu’ace que Kumiko me trouve.

- Megumi sa va pas ?
- Si, j’ai juste un mauvais présentiment
- Tu veux que je reste avec toi, aujourd’hui ?
- Non, c’est gentil, je vais y arriver seul

Je ne peux la mettre en danger pour moi, je vais prendre mon courage à 2 mains et l’affronter.
La journée finissa et comme j’ai congé, j’ai très envie d’aller manger une bonne pâtisserie. Seulement j’eu le temps de dire ouf que quelqu’un m’attrapa, m’endorma et m’emmena dans une salle désaffecté.

- Alors comment trouve tu cet endroit
- Où suis-je ?
- Quelque part près de Sarugin
- Qui es-tu ? L’anonyme d’internet
- Je t’avais dit que tu me rencontrerai bientôt
- Je ne vous connais pas, qui êtes vous ?
- Un ami de la famille
- C’est faux, mon père travaille tellement qu’il ne sais se faire des amis, et mon frère, je connais tous ses amis
- Mais qui t’as dit que je te parlais de cette famille là
- Quoi ?
- Je te parle de ta deuxième famille
- Ma deuxième famille ?
- Oui, il y a bien un membre qu’il te manque
- Maman ?
- C’est ça, ta mère, cette salope qui m’a prit mon fils
- Il est mort ?
- Raconte pas des conneries
- Elle l’a emmenée avec elle, je ne sais où quand elle m’a larguée
- Etait t’il son fils à elle aussi ?
- Je n’ai jamais eu qu’elle comme femme, bien sur que c’est son fils, mais j’ai aussi ma part de responsabilité avec lui
- Si vous ne me lâché pas, alors vous le perdré légalement
- Je veux la faire souffrir autant qu’elle m’a fait souffrir
- Ma mère ne m’a jamais aimé aussi non, elle m’aurait prit avec elle, pourquoi voudriez-vous qu’elle vienne
- Elle ne parlait que de toi et du Kazuhi.
- Pour quel raison vous a-t-elle larguée ?
- Pour être alcoolique.
- L’avez-vous battu
- Répète ça, jamais je ne l’aurais touché
- Et votre fils ?
- Tu me prends pour quoi, je n’ai jamais levé la main sur lui

Pendant que je le questionnais afin de le distraire, j’étais entrain de me rendre compte que ma mère nous a lâchée pour un salopard. Kumiko m’a raconté que pendant mon kidnapping, Satoru, inquiet me cherchais partout


- Avez-vous vu cette fille ?
- Désolée je ne l’ai jamais vue, lui répondit une fromagère
- Pardon avez-vous, cette fille ?
- Non désolé, lui répondit un passant

J’aurais voulu qu’il arrête, qu’il ne se mette pas en danger, qu’il ne s’entraîne pas dans le délire de ce fou. Mais si je devais mourir, je voudrais avoir mon premier baiser de sa part avant.

- Où avez-vous trouvé mon email ?
- Je l’ai demandé à une de tes amies qui n’as pas pu me résister, il y a un mois, celle qui a changer d’école récemment.
- Pourquoi violé vous toute ces filles ?
- Parce que cette pourriture avait la peau d’une adolescente.
- La peau d’une adolescente ?
- Mais au faite tu dois avoir la même peau qu’elle, vu que tu sors de son ventre
- Non, ne fais pas ça ; je ne suis pas belle en dessous de ces vêtements
- Laisse moi rire, tu lui ressembles tellement
- S’il vous plait

Je réussit à me détaché de cette corde et essaya de m’enfuir seulement, il me rattrapa et me colla à terre, puis commença à me battre de toute ces forces pour que j’arrête de lui ressembler. Je veux rester vierge pour celui que j’aime, j’aurai du lui montrer mes sentiments avant. Toujours à ma recherche, il chercha vers tous les squatte de la ville sans succès, il essaya de trouver des victimes de cet homme, ainsi que la police mais le chemins est long. Je n’aurai peut être plus le temps de vivre quand il me retrouvera. Je veux vivre pour lui, pour le rendre heureux, je ne voudrais jamais voir de larme sur son si beau visage.

- S’il vous plait, arrêtez, vous allez me tuer et être condamnée, lâcher moi et je ne dirai jamais rien à qui que ce soit
- Me prendre mon fils est comme me tuer, alors je ne vois pas pourquoi tu devrais vivre pour cette femme
- Mais vous ne pourrez pas la voir souffrir en prison
- Savoir qu’elle va pleurer toute les larmes de son corps
- Vous ne l’avez donc jamais aimé ?

Il prit une de ses colères et me frappa avec sa ceinture

- Répète
- Si vous l’aviez aimé, vous aurez arrêté de boire pour elle.
- Pardon ?
- Si vous l’aviez aimé, vous auriez réussit à vous faire pardonner, c’est sûrement parce qu’elle ne trouvait plus de l’amour en vous qu’elle est partie
- Comment ose tu dire ça ?
- Moi Celui que j’aime, je ne voudrais jamais le voir pleurer sur son magnifique visage, jamais l’énervé, je voudrais juste qu’il sache que je l’aime et que je me battrais toute ma vie pour lui
- Tu n’as pas la même expérience que moi alors me ramène pas ton conte de fée sur la table.

Il recommença à me battre de toute ses forces jusqu'à ce qu’un corps se jette sur moi


- Satoru ?
- Qui veut tu que ce soit ?

L’homme arrêta surpris de voir l’homme

- Pourquoi ? ….Pourquoi secourir ta proie alors que tu étais en sécurité ?
- Idiote, parce que je t’aime, je t’aime plus que tout
- Idiot pourquoi tu ne me l’a pas dit plus tôt ?
- Parce que tu ne voulais pas de moi
- Si tu m’avais dit que tu m’aimes, je t’aurai laissé une chance, je pensais que tu ne voulais que me draguer pour mon corps.
- Je t’aime, je m’en fou de ton corps

L’homme reprit ses esprits et nous frappa de toutes sa haine

- Arrêter vous allez me faire vomir
- Laissa-la partir, elle n’a rien fait d’autre que vivre
- Et c’est déjà ça de trop
- S’il vous plait, prenez moi à sa place
- Et pourquoi je ferais- ça ?
- Parce qu’elle fait partie de ma vie


Alors qu’il allais reprendre sa ceinture en comptant tuer Satoru avec, La police arriva et lui sauta dessus pour le menotter. Satoru, lui, me prit dans ses bras

- A partir de maintenant, je vais te protéger, que tu le veuille ou non
- Je t’en prit Satoru, me laisse plus toute seule
- Promis


1 semaine passa et on retrouva ma mère, caché chez une de ses voisines, Inquiet du fait qu’il m’ai battue, elle prit la décision de venir me rendre visite

- Pardon, Megumi, pardon
- Maman, comment il s’appelle ?
- Qui ça ?
- Mon demi-frère
- En réalité chérie cet enfant n’est pas celui de cet homme, il l’a élevé c’est vrai, mais quand je suis partie de la maison il y a 6 ans, j’étais déjà enceinte de cet enfant
- Tu veux dire qu’il est mon deuxième petit frère ?
- Oui, il est de ton père, il s’appel Takeda
- Takeda, est-ce que je pourrais un jour le voir ?
- Promis ma puce, je te le promets …. Comme t’as l’air d’aller mieux je vais aller voir Kazuhi et lui raconté
- Oui, merci

3 Jours après ma sortie d’hôpital, j’ai pu le voir, même jouer un peu avec lui, il est le portrait craché de mon père, je suis tellement heureuse, j’ai retrouvé ma famille et celui que j’aime m’a avouer ses sentiments. L’année passa à merveille, c’est seulement le jour des festivités d’hiver que j’eu enfin mon du, lorsque Satoru m’invita à y allé.


- Je suis heureux Megumi, tu va bien, t’es en pleine forme et tu ne me fuis plus
- C’étais ma faute j’aurai du te donné mon email et mon numéro plutôt, je n’aurai jamais communiquer avec ce fou.
- J’aurai du te dire que je t’aime bien avant, mais je n’en avais pas le courage.
- Je sais

Plus je lui parlait plus je me sentais bien au près de lui, J’eu envie de le rendre encore plus heureux, de gouter ses lèvres, d’avoir mon premier baiser, de sa part, alors je m’avança près de lui, le regarda dans les yeux et l’embrassa de tout mon amour.

- Je t’aime, Satoru

J’étais si heureuse d’être au près de lui, que je sorti sans hésité, un paquet cadeau bleu et rouge.

- Tiens, je voudrais te remercier de m’avoir secouru
- Fallait pas
- Ouvre le, ça va te plaire

Il commença à le déballer avec un grand sourire et fut très ému, lorsque qu’il découvrit son précieux cadeaux, une écharpe avec comme inscription MeguSa.
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